Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ernst jünger - Page 8

  • Ernst Jünger : le Soldat du Front, le Rebelle, l’Anarque...

    Dans ce nouveau numéro de l'émission de TV Libertés, « Les idées à l’endroit », Alain de Benoist, pour évoquer la pensée et le parcours du combattant, penseur et écrivain allemand Ernst Jünger, reçoit deux spécialistes de sa vie et de son œuvre : Isabelle Grazioli-Rozet, maître de conférences à l’Université de Lyon, et le germaniste François Poncet, traducteur de plusieurs ouvrages de Jünger.

     

                                      

    Lien permanent Catégories : Débats, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Révolution conservatrice et ligues de la jeunesse en Allemagne...

    Les Amis de la Culture européenne viennent de rééditer une étude d'Alain Thiémé intitulée La Jeunesse bündisch en Allemagne. L'étude est centrée sur la revue "Die Kommenden" ("Ceux qui viennent"), une revue des ligues de jeunesse, dirigée de 1930 à 1931 par Ernst Jünger.

     

    Thiéme_-La-jeunesse-Bündisch-en-Allemagne.jpg

    " Début 1930, été 1931 : brève et intense période qui voit se former le premier cabinet « présidentiel » Brüning, l’adoption du plan Young, le succès du parti national-socialiste aux élections du 14 septembre et les diverses tentatives gouvernementales pour essayer de résoudre la terrible crise économique. Telle est la période pendant laquelle Ernst Jünger et Werner Lass prennent la direction de la revue « Die Kommenden », qui est l’objet de cette étude.

    Die Kommenden est le journal commun à l’ensemble de la jeunesse dite « bündisch », c’est-à-dire à l’ensemble des ligues qui constituent la nouvelle forme du mouvement de jeunesse née après la première guerre mondiale. La jeunesse « bündisch » est, sans aucun doute dans cet entre-deux-guerres, la partie la plus turbulente et la plus novatrice du mouvement de jeunesse. Héritière du mouvement des « Wandervögel » (« Oiseaux migrateurs ») dont elle reprend la protestation contre la pensée bourgeoise et la volonté de retour à la nature, elle est profondément marquée par la récente expérience du front et des tranchées qu’ont vécus ses aînés.

    Animée par ces deux expériences fondamentales, la jeunesse « bündisch » aspire à un véritable renouvellement spirituel, politique et social de la « nation allemande ». C’est la raison pour laquelle elle vise, par ses activités culturelles et sportives à former une nouvelle élite, et elle salue, selon les mots de Friedrich Georg Jünger, « ceux qui viennent (die Kommenden), en qui doit se lier une plus grande profondeur à la vieille dureté ! La marche est en cours… » "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Le Capitán Alonso de Contreras...

    Les éditions Viviane Hamy viennent de rééditer les Mémoires du Capitán Alonso de Contreras, avec une préface d'Ernst Jünger. Alonso de Contreras (1582-1633) a mené la vie aventureuse et guerrière d'un capitaine de l'Ordre de Malte au début du XVIIe siècle.

     

    Contreras_Mémoires du Capitán Alonso de Contreras.jpg

    " « Je naquis en la noble ville de Madrid le 6 janvier 1582. Je fus baptisé en la paroisse de San Miguel ; mes parrain et marraine furent Alonso de Roa et Maria de Roa, frère et soeur de ma mère. Mes parents se nommaient Gabriel Guillén et Juana de Roa et Contreras. Je voulus prendre le nom de ma mère lorsque j'allai servir le Roi, étant enfant, et quand je m'aperçus de l'erreur que j'avais commise, je ne la pus réparer parce que dans mes états de services il y avait "Contreras". J'ai vécu jusques aujourd'hui et suis connu sous ce nom, et nonobstant qu'au baptême on m'ait appelé Alonso de Guillén, moi, je m'appelle Alonso de Contreras. » Les Mémoires du capitan Alonso de Contreras, découverts à la fin du XIXe, sont un splendide et captivant récit d'aventures, vécues sur terre et sur mer par un capitaine de l'ordre de Malte au début du XVIIe siècle. Il nous raconte la guerre des galères en Méditerranée, les abordages entre les galions espagnols et les corsaires anglais, sans oublier les expéditions sous le soleil des côtes barbaresques. Alonso de Contreras a séduit, de son vivant, Lope de Vega qui lui dédia sa pièce Le Roi sans royaume.

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Tour d'horizon... (177)

    Barkhane_Soldat.jpg

     

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Arte, un documentaire consacré à Ernst Jünger à découvrir avant le 26 décembre 2019...

    L'écrivain Ernst Jünger - Dans les tréfonds de l'histoire

    Ernst Jünger.jpg

    - sur la Lettre de Comes Communication, Bruno Racouchot interroge François-Bernard Huyghe sur la guerre idéologique en cours au sein de notre pays...

    L'art de la guerre idéologique, clé de voûte des hard et soft powers ?

    François-Bernard Huyghe.jpg

    Lien permanent Catégories : Tour d'horizon 0 commentaire Pin it!
  • Les Essais d'Ernst Jünger...

    Les éditions du Livre de poche viennent de publier dans leur collection La Pochothèque un recueil d'essais d'Ernst Jünger dans une édition établie, présentée et annotée par Julien Hervier et intitulé sobrement Essais. Le lecteur y trouvera notamment des livres essentiels comme Le Travailleur, Passage de la ligne ou Traité du rebelle. Un ouvrage indispensable pour tous les amateurs de l'auteur d'Orages d'acier, du Coeur aventureux et de Sur les falaises de marbre.

    Jünger_Essais.jpg

    " Hostile très tôt au monde bourgeois, élève médiocre, fuguant à dix-huit ans pour rejoindre la Légion étrangère, héros couvert de décorations, Ernst Jünger (1895-1998) est un parfait autodidacte qui n’a effectué à l’université que de brèves études en zoologie. Boulimique de lecture depuis son enfance, nourri de Nietzsche et de Schopenhauer, il allie à une culture immense et diversifiée l’expérience traumatisante de la nouvelle guerre de matériel. Bien qu’il se considère modestement comme un « amateur », il a composé de nombreux essais éclairants sur la crise du monde moderne, l’usage des drogues ou encore l’entomologie. Nous avons privilégié ici les textes qui s’interrogent sur le triomphe de la technique, marqué par l’avènement de la figure du Travailleur : celle-ci commence par fasciner Jünger avant de l’inquiéter, dans sa méfiance envers l’État technocratique, hautement suspect eu égard à sa sensibilité libertaire et précocement écologiste.

    Édition établie, présentée et annotée par Julien Hervier.

    Ce volume contient :

    Lettre de Sicile au bonhomme de la Lune / Le Travailleur / Sur la douleur / La Paix / Passage de la Ligne / Traité du rebelle / Le Mur du temps / Maxima-Minima / Sens et signification / Les Ciseaux. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Quand Julius Evola écrivait à Carl Schmitt et à Ernst Jünger...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier une brochure intitulé Lettres de Julius Evola à Carl Schmitt et Ernst Jünger. Des lettres qui viennent éclairer les relations qui existaient entre l'auteur de Révolte contre le monde moderne et ces deux figures de la Révolution conservatrice allemande.

    On notera, par ailleurs, que la correspondance entre Carl Schmitt et Ernst Jünger vient d'être traduite en français et sera publiée avant la fin de l'année 2019 dans un volume de plus de 900 pages...

    Lettres Evola.JPG

    " Parmi les 19 000 lettres qui figurent dans les archives personnelles de Carl Schmitt, 8 lui ont été adressées (en langue allemande) par Julius Evola. Celui-ci était très intéressé par un livre écrit par Schmitt sur Donos Cortès, auteur qu'ils appréciaient tous les deux, et il souhaitait le traduire et l’éditer. Cela ne se fit pas. 
    Ces missives nous informent sur les relation germanophones d’Evola après-guerre (Mohler, Rohan, Gleichen) et sur son activité de traducteur. Elles nous révèlent aussi un homme plutôt mal informé tant des publications dans la presse de droite italienne que de l’évolution idéologique de son interlocuteur. 
    On ne dispose pas des réponses de Carl Schmitt aux lettres d’Evola, mais on peut sans mal constater une chose : il fait peu de cas de ses propositions. On sait d’ailleurs par d’autres sources que Schmitt, bien qu’il lui ait adressé certaines de ses œuvres, ne s’intéressa jamais aux travaux du baron. Si les deux hommes se rencontrèrent et dinèrent ensemble lors d’un séjour d’Evola à Berlin, Schmitt ne se donna pas la peine ensuite de lire les livres que le traditionaliste italien lui faisait tenir.  
    Cette brochure se termine par une lettre d’Evola à Ernst Jünger qui montre le souci constant du baron de faire connaître au public italien les grands penseurs conservateurs allemands. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!